Le cas d'Imane Khelif et l'abomination de la théorie du genre
Au delà de la blague qu'un algérien gagne uniquement un combat quand il triche en tabassant une femme, le cas Imane Khelif est une abomination olympique.
Les JO de Paris de 2024 resteront dans les annales (mot compte double) de l'histoire olympique comme les pires dans tous les domaines. Une cérémonie qui puait la putréfaction sataniste et pédophile à plein nez et une organisation qui part en sucette à chaque jour qui passe. Des mecs qui vomissent après s'être baignés dans la Seine qui est rutilante de santé selon les autorités.
Mais en plus de tout ce foutoir, l'abomination des pédés, gouines et travelos, surtout ces derniers, montre que ça n'a plus rien de sportif. Imane Khelif fait la une des médias, non par pour avoir gagné des médailles, mais pour tabasser une femme sous les applaudissements du public et l'extase des commentateurs qui considèrent que c'est l'apogée du progressisme. Imane Khelif est né avec des développements sexuels différents (DSD), une maladie que le LGBTisme a inventé pour vous faire croire que la dégérescence occidentale a des racines biologiques. Ce type de "trouble" provoque des anomalies dans les hormones, notamment la testostérone.
Imane Khelif est un mec, bon, c'est un algérien, c'est un mec, il ressemble à un mec, il boxe comme une demi-portion face à des vrais mecs, mais le CIO l'a considéré comme une meuf. Bon, l'Algérien, quand il perd, il triche, et quand il gagne, il estime qu'il n'a pas assez gagné. Face à Angela Carini, son opposante, celle-ci a déclaré forfait en estimant qu'une discipline olympique n'est pas fait pour glorifier la violence conjugale. Ce ne sont pas ses mots exacts, mais c'est le fond de sa pensée.
L'abomination du genre provoque ce genre de merde où des ratés et des minables sont capables de profiter de ce flou entre un homme et une femme ce qui détruit toute norme sportive. C'est pour ça qu'il y a des catégories de poids, des contrôles anti-dopage, pour éviter une inégalité artificielle qui donne la victoire alors qu'on ne l'a pas mérité. Mais ce qui est génial dans cette histoire est que l'homosexualité est interdite en Algérie, mais quand il s'agit de racker des médailles, car on n'a pas les couilles de les gagner à la loyale, tout de suite, l'Algérie devient progressiste.
Avec cette confusion des genres, cette société liquide où vous êtes un homme, une femme, un bi, une loutre, une tique transmettant la peste, il n'y a plus aucune raison que des équipes de foot masculines violent sportivement leurs homologues féminins, pourquoi ne pas aussi mélanger les sexes dans la course, le vélo et tant qu'à faire, pourquoi mettre des catégories de poids ou de contrôles anti-dopage. Quand un homme, se déguise en femme, alors tout est possible.
En même temps, quand vous voyez les élites occidentales, baignant dans le vice et la luxure où à chaque fois qu'on peut tringler les races exotiques, tout est bon pour autoriser les pires saloperies. Que ce soit Macron qui regarde notre algérien tabasseur de meufs comme s'il voulait le sucer devant tout le monde où Annalena Baerbock, ministre des affaires étrangères allemandes, qui se fait sauter par un gigolo nigérien payé 3 000 euros par jour avec le pognon des contribuables.
L'Occident est devenu un cancer métastasé et on sait ce qu'il faut dans ce type de cas...